S’agissant du projet de loi en lui-même, j’ai affirmé mon soutien à celui-ci, réfutant toute référence à un parti politique français quelconque car cette question n’est pas l’apanage de politiciens quels qu’ils soient.
J’ai mis en avant le fait que la loi française était conforme aux conventions internationales interdisant l’apatridie, seuls les binationaux étant concernés, et que le projet de loi ne créerait pas d’apatrides.
Pour conclure, j’ai rappelé que nombre de jihadistes, lorsqu’ils rejoignent la Syrie, se mettent en scène devant les caméras de Daesh en train de brûler leur passeport français, ne se considérant plus que sujets de l’ «Etat islamique» et se placent ainsi en rupture de citoyenneté.
Pourquoi préserver celle-ci à ceux qui, devant le monde entier, la répudient ?
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