Je suis présente au procès et représente les intérêts des familles du couple franco-tunisien que formaient feus Cenda et Mohamed Ali.
Mes pensées et ma solidarité vont aux deux familles, particulièrement à la petite Shyrine qui ne connaîtra jamais ses parents.
Les familles attendent légitimement de ce procès que toute la vérité soit dite, que le rôle de tous les complices soit déterminé et que les différents réseaux terroristes soient démantelés en Turquie, en France et ailleurs.
Je leur dédie ces articles dans lesquels j’interviens en parlant d’elles.
A voir ici dans Le Monde. A voir ici dans Le Parisien.