A l’occasion d’un article sur le jihadisme en prison dans le dernier numéro du magazine italien Panorama, j’ai été interviewée sur ma propre expérience en tant qu’avocate des victimes du terrorisme, en particulier sur l’énigme Salah Abdeslam, dont j’ai rappelé que le silence dans lequel il se mure désormais n’empêche rien de sa conviction jihadiste, celle qui a fait de lui un meurtrier de personnes innocentes.